, du, parle de Rob Reiner comme de lun des meilleurs réalisateurs de comédies de Hollywood, disant du film quil est conventionnel dans sa structure et sa manière de répondre à nos attentes. Mais ce qui le rend spécial, en dehors du scénario de Nora Ephron, cest lalchimie entre Billy Crystal et Meg Ryan. Rita Kempley, du, évoque une comédie qui marche dans les airs et fait léloge de la distribution, non seulement des deux acteurs principaux mais aussi de et. Mike Clark, de, donne au film trois étoiles sur quatre et écrit que Billy Crystal est suffisamment drôle pour éviter que Meg Ryan ne lui vole la vedette mais que celle-ci délivre une performance fracassante, qui est un nouvel hommage au flair que possède Rob Reiner avec ses acteurs. Pancarte installée au après la sortie du film et indiquant la table où a été tournée la scène du déjeuner entre Harry et Sally, la plus connue du film. A limage du film, ses bonus sont, certes un peu courts, mais délicieux. Le petit bêtisier est dailleurs une excellente mise en bouche et on se régale de ces cinq grosses minutes où Franck Dubosc et ses comparses partagent des petits fous rires. Mention spéciale aux scènes tournées avec Gérard Darmon et à leurs éclats de rire hautement communicatif! Nora Ephron voulait à lorigine intituler le film How They Met et a testé plusieurs titres différents. Rob Reiner organise même un concours entre les membres de léquipe du film durant le tournage, promettant une caisse de champagne à celui qui trouverait le titre adéquat, avant de trouver lui-même le titre définitif. Le tournage se déroule du 29 août au 15 novembre 1988, dabord à, puis à, et enfin à à partir du début du mois doctobre. Dans le but dêtre dans létat desprit solitaire de Harry après son divorce, Billy Crystal sisole délibérément du reste de léquipe pendant le tournage à.,, le et le font partie des lieux de tournage du film. Le scénario prévoyait initialement que Harry et Sally restent amis sans poursuivre de relation romantique, mais Ephron et Reiner finissent par réaliser quil serait plus approprié que les personnages se marient à la fin du film, même sils admettent que ce nest pas le dénouement le plus réaliste. Si les deux premiers nous laissent un sérieux goût de trop peu et nous étonnent par leur arrêt soudain, Les effets spéciaux, réalisé par la Compagnie Générale des Effets visuels vaut lui un sérieux coup dœil. Balayant des scènes avant et après incrustations deffets spéciaux, ce chapitre chronologique nous montre comment la neige, le public de lopéra, le ciel illuminé ou encore un Paris dévasté se sont invités dans les images finales du film. Bluffant, ce travail minutieux est tellement consciencieux quil est difficile pour le spectateur de ne pas y voir que du feu. Les critiques du film ont été en général très positives. Il recueille 88 de critiques positives, avec une note moyenne de 7,8 10 et sur la base de 59 critiques collectées, sur le site. Sur le site, il obtient un score de 76 100, sur la base de 17 critiques collectées. Avis : Voici une suite que lon attendait au tournant. Déjà, le premier volet sorti il y a cinq ans avait fait grincer les dents des défenseurs du politiquement correct, divisant une fois de plus la critique et le public. Cest pourtant ce dernier qui avait plébiscité la consécration populaire de ce film ayant totalisé 12 353 181 entrées en France. Due to security risks and a lack of support for web standards this website does not support IE6. Internet Explorer 6 was released in 2001 and it does not display modern web sites properly. Please upgrade to a newer browser to fully enjoy this site and the rest of the web. After you update, please come back and you will be able to view our site. En Roger Ebert,, consulté le 30 janvier 2011 et en Lucy Keyser, Its Love at the box office for Harry Met Sally..,, 25 juillet 1989 OGYxMjU3MzljMDIyZWUwM2U2YjhkYmM3NzliZWQ2N2NmNjBkMjA4MTUwMWMx Meilleur scénario original Éric Toledano et Olivier Nakache et, JPs Box-Office consulté le 6 mars 2013 Si les réalisateurs avouent avec beaucoup de mal à mettre des mots sur leur idée de départ, de faire le tri dans les différentes portes dentrée, ils ont cependant eu beaucoup de plaisir à suivre les éducateurs des associations mises en lumière dans Hors normes, dobserver les enfants et adultes handicapés mais aussi de voir comment les comédiens professionnels ont participé sans retenue et avec beaucoup dhumanité à la mise sur pied de leur incroyable et atypique idée. Lun des premiers plaisirs du film et oui, il en existe plusieurs, est avant tout son casting très familier de lunivers Jarmuschien. Bill Murray, Adam Driver, Steve Buscemi, Iggy Pop, Tilda Swinton ou encore Chloë Sevigny ont toutes et tous déjà tourné devant la caméra du réalisateur américain et cest avec tendresse que nous les retrouvons dans des rôles décomplexés, pas toujours très habités. Papy Murray a pris un coup de vieux et Tilda Switon en fait des caisses mais Adam Driver et Chloë Sevigny contrebalancent et donnent le change. On se régale de certaines scènes ridicules mais au fond très drôles la révélation des addictions des zombies errant, des répétitions paresseuses mais délicieuses comme la découverte du carnage dans le diner local et on se surprend de vouloir revoir le film une fois terminé. On ne compte plus les petites esbroufes amusantes le thème The dead dont die écrit spécialement pour le film par Sturgill Simpson et qui occupe une place centrale ou la révélation de lagent Ronald Peterson sur lissue de lintrigue toujours en cours, les gimmicks et autres mini trouvailles. Désinvolte, paresseux, amusant et maladroit, The dead dont die est tout ça à la fois et sil dénonce en substance quelques dérives de notre société actuelle, le film a tendance à senliser un peu trop dans le terrain miné des bonnes intentions pas toujours assumées ou pas réellement maîtrisées. Prisma Média-Partenaire Plurimedia-Tous droits réservés Repères musicaux de lHistoire et commentaires : voilà un bonus vraiment intéressant puisque la musique du film occupe une place centrale au cœur du récit. Suivez le guide! Le journaliste de rock Ben Fong-Torres anciennement rédacteur en chef du Rolling Stone Magazine nous parle de sa passion et de la concrétisation de celle-ci à travers le film Forrest Gump. On a peut-être tendance à loublier aujourdhui mais Forrest Gump retrace lhistoire du Rock de 1956 aux années 80 avec pas moins de 45 chansons populaires parfaitement adaptées à laction et aux émotions des protagonistes. Servant de repères historiques, les musiques employées sont les différents reflets de lévolution de la société de lépoque. Une aide financière serait également bienvenue pour permettre de sous-traiter des améliorations que nous ne pouvons pas faire en interne.